C’est douloureux, les publications, mais ça donne à réfléchir, et ça rend réactif !

Bon : 4 études disent que le régime préventif de la maman parturiente n’a pas d’effet sur la venue d’une manifestation atopique chez le petit.
Est-on là dans le bon sens ?

C’est en réfléchissant aux attentes, que l’on donnera la bonne direction aux études.
Les parents qui ont souffert de l’atopie de leur(s) nourrisson(s), veulent à tout prix minimiser la manifestation atopique pour l’enfant à venir.

Et là, le régime préventif de la maman est une vraie réussite.
Il se poursuit au cours de l’allaitement, et la diversification alimentaire sera prudente.

Mais alors direz-vous, il suffit de commencer la prévention à la naissance !
Ceux qui l’ont expérimenté ont vécu un contrôle plus laborieux...après la venue de lésions bien vilaines. Etait-ce dû déjà à l’accumulation d’IgE au cours de la gestation ?

Bien sûr, des petits signes vont apparaître. Ils sont une bonne chose : ils signeront la nature atopique de l’enfant, et diront que la prévention des étapes atopiques doit se faire.

Parallèlement à ces petits symptômes cutanés ponctuels, la peau du nourrisson est douce, souple, et les parents restent longtemps émus de cette peau de bébé , symbole de leur bon travail, de leur réflexion et de leur acquis.

Les études disent aussi que des bébés de petit poids seraient nés, et que ce poids serait la conséquence du régime préventif ! Mais alors, tout n’aurait pas été bien expliqué, et des progrès resteraient à faire dans la diffusion des connaissances nutritionnelles ?

Un rappel d’éviction à ne pas oublier dans la prévention du bébé à venir : les moisissures dans l’habitat, et surtout les animaux domestiques, car là, malgré le régime, la peau flambe, le nez peut ronfler et le souffle...souffrir !