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Un argument de poids pour les biothérapies

Un argument de poids pour les biothérapies


Depuis près de quinze ans, les biothérapies sont venues révolutionner l’arsenal thérapeutique des médecins allergologues : anti-IgE, anti IL4-13, anti-IL5, etc. Ce sont des médicaments de synthèse biologique qui bloquent ou miment l’activité de (…)

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categorie aérien

Les allergènes aériens sont représentés par les pollens, les moisissures, les poils d’animaux et les "poussières (acariens) bien sûr. Pourtant, il ne faut pas oublier la présence de produits chimiques allergisants (formaldéhyde, glurataldéhyde etc.) issus de peintures, colles, laques, parfums ou encore la présence dans l’air de particules alimentaires : vapeur de cuisson des aliments, présence naturelle des aliments dans l’air du fait de leur poid (farines).

Derniers articles aérien

article du 28 03 2013 par Dr Philippe Carré

Qui tousse la nuit petit sera allergique plus grand ? Et si PARIS m’était conté…

La détection précoce des enfants à risque de développer de l’asthme allergique est un vrai challenge ; parmi les troubles respiratoires qui peuvent affecter les enfants, la toux est un symptôme fréquent ; c’est un symptôme non spécifique qui peut correspondre à plusieurs étiologies, dont l’asthme, surtout quand cette toux est nocturne et sèche ; elle a cependant été peu étudiée dans les (…)
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article du 22 03 2013 par Dr Stéphane Guez

Ouah, voilà un article qui fera saliver les allergiques au chien !

Dans ce travail, les auteurs ont étudié l’intérêt d’utiliser la salive du chien plutôt que les extraits de squames comme source allergénique. Il existe ainsi 4 nouveaux allergènes potentiels dans la salive du chien, avec par ailleurs une positivité des IgE chez des patients allergiques au chien et négatifs avec les extraits classiques. Cet article est très intéressant car il va sans doute (…)
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article du 18 03 2013 par Dr Céline Palussière

Faut-il vraiment chercher à diminuer l’humidité dans les maisons ?

La deuxième phase de l’étude ISAAC analyse depuis plus de dix ans les caractéristiques des pathologies de type atopique respiratoires et cutanées, en rapport avec les facteurs environnementaux et génétiques. Les résultats exploités dans cet articles concernent l’influence de l’humidité de l’habitat et de la présence de moisissures sur l’apparition de phénomènes respiratoires. Tout (…)
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article du 15 03 2013 par Dr Philippe Carré

Des p’tits pricks, des p’tits pricks, toujours des p’tits pricks..mais pour quels métiers ?

Le diagnostic des maladies professionnelles allergiques IgE dépendantes est souvent difficile en raison de la difficulté à identifier l’agent causal ; les outils diagnostiques associent l’histoire clinique, les prick-tests cutanés (PTC), le diagnostic in vitro et parfois les tests de provocation. La positivité des tests cutanés associée à l’existence de symptômes liés au travail sont les (…)
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article du 12 03 2013 par Dr Cécilia Nocent

Le débat sur les β2 agonistes : est-ce encore un problème ?

Il s’agit d’une revue des recommandations de la FDA concernant le bon usage des β2 agonistes de longue durée d’action (LABA). Les auteurs rappellent que la prescription de LABA dans l’asthme doit toujours être associée à la prescription de corticoïdes inhalés (ICS) même s’il existe d’autres traitements comme des antileucotriènes ou de la théophylline. Il est également rappelé que dans la (…)
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article du 27 02 2013 par Dr Philippe Carré

Faut-il donner à nos bambins de la cortisone, à l’insu de leur plein gré, en cas d’infection à rhinovirus ?

L’identification précoce des enfants à haut risque d’asthme est souvent basée sur les caractéristiques atopiques, notamment la sensibilisation aux aéro-allergènes, qui est cependant rarement décelable dans la petite enfance. Les sifflements associés à l’infection à rhinovirus humain a été suggérée comme un facteur de risque important de récidive de sifflements ou d’asthme, mais aucune étude (…)
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