« Sniffer » de l’aspirine : acte diagnostic ou conduite addictive ?
L’asthme à l’aspirine reste une affection mystérieuse dont le mécanisme physiopathologique est encore incertain. Il semble pourtant qu’un lien puisse être établi sur le plan physiopathologique entre les manifestations de rhinosinusite chronique, les polypes nasaux et l’asthme. Intolérance à l’aspirine et polypose nasale. : Picado C. Servei de Pneumologia, Hospital Clinic, Barcelona, Spain. (…)