Le député Espagnol Juan Naranjo Escobar se pose des questions sur la réalité des allégations issues d’études (Nature en septembre dernier et des journaux de dermatologie depuis) médicales.

En effet, ces études mettent en exergue un risque d’allergie au nickel plus important qu’avec les anciennes pièces pour les pièces de un et de deux euros.

Comme elles ont concerné des périodes où des anciennes pièces étaient encore en circulation et fort des certitudes que lui ont inculqué les producteurs de pièce sur leur innocuité, Mr Juan Naranjo Escobar souhaiterait une commission sur le sujet dans le but de dédouaner ces pièces.

Reste à espérer qu’il ait raison et que demain, on puisse dire "pour un euro, t’as plus rien", même pas un eczéma de la paume !