Corticoïdes inhalés et croissance : faut pas pousser !


L’influence des corticoïdes inhalés sur la croissance pubertaire et la taille finale chez les enfants asthmatiques. : Chiara De Leonibus1,*, Marina Attanasi1, Zane Roze2, Benedetta Martin1, Maria Loredana Marcovecchio1,3, Sabrina Di Pillo1, (…)

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Auteur : Dr Philippe Carré

Dr Philippe Carré

Pneumologue hospitalier PH temps-plein depuis 20 ans et
allergologue depuis plus de 15 ans, je me suis investi de longue date dans la formation médicale (des étudiants hospitaliers et des collègues) en matière d’allergologie ; dans ce domaine, mon activité inclue, outre les allergies respiratoires, l’allergie médicamenteuse et les allergies aux venins.
Je suis également investi dans l’éducation à la santé, par le biais d’une association de patients asthmatiques, de ma participation à l’enseignement universitaire et de mon implication dans le Comité National contre les Maladies Respiratoires.
Mais je n’oublie pas que j’ai aussi beaucoup à apprendre encore.

Derniers articles Dr Philippe Carré

article du 22 04 2013 par Dr Philippe Carré

Peut-on couper le sifflet de nos tout-petits avec un bon coup de corticoïdes oraux ?

Les 2 études post-hoc de cohortes AIMS et MIST, concernant des enfants d’âge préscolaire présentant des sifflements intermittents avec plus de 1500 MVRI, suggèrent que les corticoïdes oraux ne réduisent pas la sévérité des symptômes au cours des épisodes aigus de MVRI. De plus, les sous-groupes d’enfants qui auraient pu bénéficier le plus d’une réponse aux corticoïdes, tels que ceux ayant (…)
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article du 28 03 2013 par Dr Philippe Carré

Qui tousse la nuit petit sera allergique plus grand ? Et si PARIS m’était conté…

La détection précoce des enfants à risque de développer de l’asthme allergique est un vrai challenge ; parmi les troubles respiratoires qui peuvent affecter les enfants, la toux est un symptôme fréquent ; c’est un symptôme non spécifique qui peut correspondre à plusieurs étiologies, dont l’asthme, surtout quand cette toux est nocturne et sèche ; elle a cependant été peu étudiée dans les (…)
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article du 25 03 2013 par Dr Philippe Carré

Les macrolides au long cours à toutes les sauces : le tour de l’asthme ?

Plusieurs phénotypes d’asthme sévère ont été individualisés, avec notamment des différences dans les comptes d’éosinophiles et de neutrophiles dans les expectorations ; le phénotype non éosinophilique répond moins aux traitements anti-inflammatoires ; de plus, on a montré que l’asthme sévère était un facteur de risque d’infection des voies aériennes inférieures (IVAI), incluant les pneumonies. (…)
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article du 15 03 2013 par Dr Philippe Carré

Des p’tits pricks, des p’tits pricks, toujours des p’tits pricks..mais pour quels métiers ?

Le diagnostic des maladies professionnelles allergiques IgE dépendantes est souvent difficile en raison de la difficulté à identifier l’agent causal ; les outils diagnostiques associent l’histoire clinique, les prick-tests cutanés (PTC), le diagnostic in vitro et parfois les tests de provocation. La positivité des tests cutanés associée à l’existence de symptômes liés au travail sont les (…)
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article du 6 03 2013 par Dr Philippe Carré

La parité oestrogénique n’est pas encore à l’ordre du jour dans l’asthme.

Il existe des différences dans l’incidence, la sévérité et la fluctuation des maladies allergiques chez les femmes par rapport aux hommes, ce qui laisse à penser que les hormones féminines (œstrogènes et progestérone) jouent un rôle actif dans ces maladies chez la femme. Alors que la prévalence de l’asthme est plus grande chez les garçons avant la puberté, la courbe s’inverse après avec une (…)
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article du 27 02 2013 par Dr Philippe Carré

Faut-il donner à nos bambins de la cortisone, à l’insu de leur plein gré, en cas d’infection à rhinovirus ?

L’identification précoce des enfants à haut risque d’asthme est souvent basée sur les caractéristiques atopiques, notamment la sensibilisation aux aéro-allergènes, qui est cependant rarement décelable dans la petite enfance. Les sifflements associés à l’infection à rhinovirus humain a été suggérée comme un facteur de risque important de récidive de sifflements ou d’asthme, mais aucune étude (…)
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