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Un argument de poids pour les biothérapies
Depuis près de quinze ans, les biothérapies sont venues révolutionner l’arsenal thérapeutique des médecins allergologues : anti-IgE, anti IL4-13, anti-IL5, etc. Ce sont des médicaments de synthèse biologique qui bloquent ou miment l’activité de (…)
categorie aérien
Les allergènes aériens sont représentés par les pollens, les moisissures, les poils d’animaux et les "poussières (acariens) bien sûr. Pourtant, il ne faut pas oublier la présence de produits chimiques allergisants (formaldéhyde, glurataldéhyde etc.) issus de peintures, colles, laques, parfums ou encore la présence dans l’air de particules alimentaires : vapeur de cuisson des aliments, présence naturelle des aliments dans l’air du fait de leur poid (farines).
Derniers articles aérien
article du 12 09 2004 par
Dr Stéphane Guez
Omalizumab le nouveau traitement de l’allergie aux chats obèses (gras minets ! !)
Dans ce travail, les auteurs démontrent que l’association d’une immunothérapie spécifique classique présaisonnière avec un traitement complémentaire pendant la saison pollinique par un anti-IgE diminue considérablement la sévérité des symptômes et le recours à des traitements symptomatiques.
Ce travail est intéressant car il permet de préciser la place des différents traitements de la (…)
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article du 31 08 2004 par
Dr Stéphane Guez
Les test cutanés à l’Alternaria sont moisis, il ne faut plus les utiliser.
Dans ce travail prospectif les auteurs démontrent que les tests cutanés à l’Alternaria n’ont que peu de corrélation avec les tests de provocation par voie nasale, avec une sensibilité et une spécificité médiocres. Il faut donc évaluer autrement l’allergie aux moisissures qui fait certainement intervenir des phénomènes immuns complexes.
Ce travail est très important pour les cliniciens car il (…)
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article du 19 07 2004 par
Dr Alain Thillay
A quoi sont dues les conjonctivites allergiques saisonnières japonaises ?
Cette étude m’apparaît quelque peu boiteuse.
En effet, il semble assez évident qu’au Japon les conjonctivites allergiques saisonnières soient dues aux pollens de cyprès et de cèdre. On peut donc simplement confirmer qu’il existe une cohérence clinico-biologique.
Toutefois, il faut rappeler encore et encore que l’enquête allergologique comprend un interrogatoire, un examen clinique, des (…)
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article du 27 06 2004 par
Dr Claire Traube
Alternaria, une moisissure ras des pâquerettes !
Il faut savoir pondérer les résultats de taux de spores dans l’air donnés par les services officiels, car la végétation environnante est un facteur prépondérant dans le développement des spores d’Alt.
En pratique, pour l’enquête allergologique, l’imputabilité d’Alt est d’autant plus ardue à mettre en évidence que les extraits commerciaux pour les tests cutanés sont mal standardisés et que (…)
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article du 25 06 2004 par
Dr Hervé Couteaux
Sécurité chez les piqués.
Dans cette étude par questionnaire (e-mail) auprès de 1717 allergologues des USA, concernant l’existence d’injections incorrectes au cours de cinq dernières années, les auteurs retrouvent, parmi les allergologues qui ont répondu, une proportion de 58 % qui rapportent une erreur de patient (patient ayant reçu une injection destinée à un autre patient) et une proportion de 74 % relevant une (…)
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article du 23 06 2004 par
Dr Stéphane Guez
Le Phadiatop : top du test, ou test de fada ?
Dans ce travail sur une population d’enfants brésiliens, les auteurs démontrent qu’il y a une bonne corrélation entre l’existence d’un terrain atopique et la positivité du Phadiatop, avec une bonne relation entre un Phadiatop positif et l’existence d’une allergie aux acariens domestiques de la poussière de maison.
Il y a toujours plusieurs façons d’interpréter des résultats.
Certes ce (…)
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Le podcast des allergies c'est Atchoum