Les incendies brûlent aussi les atopiques : effet des particules fines et des émanations gazeuses d’incendies sur la peau, le nez et les bronches de nos patients atopiques
Les incendies de végétation deviennent de plus en plus intenses et fréquents, dispersant sur des centaines de kilomètres un mélange de gaz et de particules. La fraction PM2,5 (particules de ≤ 2,5 µm) émerge comme l’un des composants les plus toxiques de ce mélange. Les auteurs soulignent que ces panaches, qui sont plus oxydants et pro-inflammatoires que la pollution atmosphérique « typique » (…)