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Un argument de poids pour les biothérapies

Un argument de poids pour les biothérapies


Depuis près de quinze ans, les biothérapies sont venues révolutionner l’arsenal thérapeutique des médecins allergologues : anti-IgE, anti IL4-13, anti-IL5, etc. Ce sont des médicaments de synthèse biologique qui bloquent ou miment l’activité de (…)

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categorie asthme

L’ ;asthme est une maladie inflammatoire chronique des petites bronches qui s’accompagne ou non d’exacerbations (crises d’asthme). L’asthme est une maladie de la muqueuse bronchique se caractérisant par une obstruction des voies aériennes distales, une inflammation de ces mêmes voies et une augmentation de la réactivité des bronches à différents stimuli.

L’asthme est un état inflammatoire chronique des bronches dans lequel de nombreuses cellules jouent un rôle, en particulier mastocytes, éosinophiles et lymphocytes T (Rapport NHLB/OMS Rev.fr.Allergol., 1996, 36, 6). Notre rubrique dédiée à l’asthme.

Derniers articles asthme

article du 4 10 2003 par Dr Stéphane Guez

Les vacances d’Aspirine la coquine en Pologne.

La prévalence de l’asthme à l’aspirine dans une population générale adulte d’asthmatiques en Pologne, serait de 4.3% (5.4% par rapport à la population générale), ce qui est la moitié environ des valeurs rapportées dans d’autres pays comme la Finlande et l’Australie. Cette forme d’asthme est donc à reconnaître. Ce travail vient d’une équipe qui a beaucoup publié sur l’asthme à l’aspirine, (…)
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article du 1 10 2003 par Dr Philippe Carré

Un scoop : le nez coule dans les bronches, même chez le sujet normal.

L’asthme nocturne est fréquent chez l’asthmatique. Plusieurs hypothèses ont été avancées pour l’expliquer : l’exposition préférentielle aux acariens dans la literie ; les modifications hormonales nocturnes, notamment des catécholamines ; le reflux gastro-oesophagien nocturne. Ces facteurs peuvent rendre compte des modifications de la bronchomotricité qui expliquent l’asthme nocturne, avec (…)
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article du 30 09 2003 par Dr Dominique Marchand

Le monoxyde d’azote exhalé (ENO) à la recherche d’un nouveau public : les asthmatiques âgés de 5 à 18 ans

La mesure du ENO est un test simple, insuffisamment pratiqué en cabinet ou laboratoire d’exploration fonctionnelle respiratoire en raison du coût encore prohibitif du matériel de mesure basé sur la chemiluminescence (O3 + NO : formation de NO2 qui revient à son état stable (NO) avec un émission de photons proportionnelle à la quantité de NO initiale). Le présent article conclue à des (…)
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article du 29 09 2003 par Dr Stéphane Guez

Les adolescents sont des em....deurs : alors, en plus avec une hyper-réactivité bronchique !

Dans ce travail, les auteurs démontrent qu’il existe certainement un lien génétique entre les adolescents et les parents, dans la persistance d’une HRB alors même que la maladie asthmatique est en rémission. Ce résultat est intéressant à connaître car il permet de faire la part entre maladie asthmatique et HRB. Les 2 ne sont donc pas forcément associées. Il est courant de rencontrer des (…)
lire la suite 1602 lectures

article du 27 09 2003 par Dr Alain Thillay

Vaccin grippal chez l’asthmatique : ne pas se laisser « influenzae » !

Cette étude est rassurante car les résultats suggèrent qu’il n’y a pas relation entre vaccination grippale et exacerbation de l’asthme. Bien que s’appuyant sur des éléments parfaitement objectifs, la cohorte de 32 patients paraît un peu trop petite pour tirer des conclusions définitives. De plus, nous n’avons pas de renseignement sur le statut allergique de ces patients. Cette étude (…)
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article du 25 09 2003 par Dr Arnaud Scherpereel

N’oubliez pas les bras et les jambes chez le patient BPCO !

Dans ce travail intéressant et détaillé, les auteurs mettent en évidence une altération franche de la capacité maximale de travail des bras dans une population de patients présentant une BPCO modérée à sévère. Cette altération, proportionnelle à la sévérité de l’atteinte respiratoire, est largement supérieure (+38%) au niveau des bras par rapport aux jambes pour un même patient, alors que (…)
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