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Un argument de poids pour les biothérapies

Un argument de poids pour les biothérapies


Depuis près de quinze ans, les biothérapies sont venues révolutionner l’arsenal thérapeutique des médecins allergologues : anti-IgE, anti IL4-13, anti-IL5, etc. Ce sont des médicaments de synthèse biologique qui bloquent ou miment l’activité de (…)

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categorie aérien

Les allergènes aériens sont représentés par les pollens, les moisissures, les poils d’animaux et les "poussières (acariens) bien sûr. Pourtant, il ne faut pas oublier la présence de produits chimiques allergisants (formaldéhyde, glurataldéhyde etc.) issus de peintures, colles, laques, parfums ou encore la présence dans l’air de particules alimentaires : vapeur de cuisson des aliments, présence naturelle des aliments dans l’air du fait de leur poid (farines).

Derniers articles aérien

article du 21 08 2024 par Dr Philippe Auriol

Un argument de poids pour les biothérapies

Les biothérapies font-elles grossir ? Non, visiblement. Font-elles maigrir ? Probablement pas directement non plus. Un asthme qui s’améliore c’est la capacité de reprendre des activités physique qui se traduisent par une baisse de la masse grasse chez les femmes et par une prise de muscle chez les hommes. C’est évidemment une étude qui a ses limites : peu de sujets et des biothérapies (…)
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article du 6 08 2024 par Dr Philippe Auriol

Rhinomanométrie : ses applications et ses progrès en rhinologie

La rhinomanométrie est un examen facile, peu coûteux, sensible et didactique qui permet au patient de visualiser sa fonction nasale et au médecin de suivre celle-ci dans le temps. Elle est plus objective que les scores cliniques habituels (PAREO, NOSE). Elle n’indique pas la cause de l’obstruction mais un état de fonctionnement. Elle nécessite d’être rigoureux dans la qualité de son examen (…)
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article du 7 03 2016 par Dr Philippe Carré

Les enfants sportifs ont du nez !

Dans cette étude japonaise réalisée sur une durée de 4 ans, auprès de 558 enfants scolarisés, à partir d’un questionnaire de recueil des symptômes d’allergie et d’un dosage d’IgE spécifiques des pneumallergènes, les résultats montrent une augmentation de la prévalence des symptômes de rhinite liée à la pratique sportive (tant en fréquence qu’en durée), notamment de la rhinite à début récent, (…)
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article du 10 02 2016 par Dr Stéphane Guez

Trop fort, le dermato comme le fibroscope voit les bronches à travers la peau !!

Dans ce travail prospectif portant sur une étude de cohorte de mères d’enfants suivis avant la naissance, les auteurs ont recherché les facteurs de risque de développement d’une bronchiolite sévère durant l’enfance. La DA est un facteur de risque élevé indépendant des autres facteurs de risque connus. Ce travail a surtout l’intérêt de confirmer des données sur les facteurs de risque de (…)
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article du 2 12 2015 par Dr Philippe Carré

Attention les acariens : les bronches réagiraient aussi quand vous chatouillez le nez !

Cette étude chinoise a évalué les modifications inflammatoires au niveau des voies aériennes supérieures et inférieures, après un test de provocation nasal (TPN) aux acariens, dans quatre groupes de 15 sujets non asthmatiques : 2 groupes ayant une rhinite allergique avec et sans hyperréactivité bronchique (HRB), et 2 groupes de sujets contrôles avec et sans sensibilisation aux acariens. (…)
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article du 16 11 2015 par Dr Philippe Carré

Les enfants : si vous préférez ne pas devenir asthmatiques quand vous serez plus grands, planquez vos éosinophiles quand vous faites une bronchiolite !

Cette étude finlandaise réalisée chez 47 sujets d’environ 30 ans, et ayant eu dans la petite enfance une admission hospitalière pour une bronchiolite aiguë, montre : qu’un compte bas d’éosinophiles (<0.25 x 10E9/l) lors de l’admission dans l’enfance, était un facteur significatif de protection contre l’asthme à l’âge adulte entre 28 et 31 ans, et qu’un compte élevé (>0.45) après l’infection (…)
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