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Et si les petites voies aériennes n’étaient que du vent ???

Et si les petites voies aériennes n’étaient que du vent ???


Effets de la dysfonction des petites voies aériennes dans l’expression de l’asthme : focus sur les symptômes d’asthme et l’hyper-réactivité bronchique : van der Wiel E, Postma DS, van der Molen T, Schiphof-Godart L, ten Hacken NHT, van den (...)

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Rubrique asthme

L’allergie déclenche une inflammation locale. Lorsqu’elle a lieu dans les bronches cela est responsable d’asthme. Beaucoup de personnes asthmatiques confondent crise d’asthme et maladie asthmatique. La crise d’asthme est un réflexe de défense des bronches devant une souffrance brutale : il y a une gêne respiratoire intense, des sifflements. Il est rare de ne pas s’en rendre compte. Inversement, la maladie asthmatique est une inflammation chronique des petites bronches et, si celle-ci est progressive, vous pouvez détruire un grand pourcentage de vos voies aériennes en vous habituant progressivement à cette obstruction bronchique. Aujourd’hui, seule la pléthysmographie permet de visualiser cette maladie. L’asthme touche de plus en plus de personnes dans le monde et de plus en plus jeunes. Prise en charge tôt, il est parfaitement soignable.

Derniers articles asthme

article du 12 10 2002 par Dr Isabelle Bossé

Asthme déclenché par le stress : c’est pas la tête mais les surrénales.

Les auteurs ont sérié des femmes asthmatiques en 3 niveaux de stress, plus celui-ci est élevé, plus leur cortisol plasmatique est bas et moins elles ont de ressources pour lutter contre ce stress. Serait-ce l’explication des crises d’asthme liées au stress ? Une étude pilote examine les relations entre les concentrations sériques de cortisol de stress chez des femmes asthmatiques. : B. (...)
lire la suite 16402 lectures

article du 9 10 2002 par Dr Isabelle Bossé

Le sport ne protège pas de l’asthme. Au contraire ?

L’asthme d’effort est une entité clinique qui correspond à la survenue d’un bronchospasme lors d’un effort physique, en général prolongé. Parfois, le sportif le ressent et le diagnostic est facile. Parfois, il est silencieux mais il existe quand même une inflammation. D’où l’intérêt de dépister l’asthme d’effort, même s’il n’existe pas de symptôme. Efficacité d’examens systématiques pour (...)
lire la suite 3812 lectures

article du 8 10 2002 par Dr Stéphane Guez

Pour éviter de retourner aux urgences, les asthmatiques doivent aller à l’école.

Il y a longtemps que tous les intervenants médicaux ayant en charge la maladie asthmatique insistent sur la nécessité d’une information précise de l’asthmatique sur sa maladie et sur les modifications thérapeutiques à apporter à son traitement de fond en cas d’aggravation. Cette étude confirme l’intérêt de cette démarche qui évite réellement de nouvelles hospitalisations. Mais le problème (...)
lire la suite 2009 lectures

article du 6 10 2002 par Dr Alain Thillay

A chaque asthmatique son traitement ?

Effectivement, cette étude a le mérite du grand nombre du fait de l’utilisation d’une technique non invasive pour récupérer les sécrétions bronchiques. Elle remet en cause la notion maintenant classique, symptomatologies différentes, asthmes d’étiologies différentes, mais, grande similitude du profil cellulaire inflammatoire. Ce qui impliquerait à contrario, profils cellulaires différents, (...)
lire la suite 2267 lectures

article du 1 10 2002 par Dr Alain Thillay

Les asthmatiques doivent avoir de l’estomac, mais un estomac continent !

Cette étude montre que les patients non asthmatiques souffrant de RGO ont une hyper-réactivité bronchique, il semble que cela soit encore plus vrai pour les sujets asthmatiques. Je pense que nous n’évaluons pas assez la fonction digestive chez les asthmatiques. Il me semble que globalement la communauté médicale ne soit pas très favorable à la fundoplicature, nous avons recours bien (...)
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article du 30 09 2002 par Dr Stéphane Guez

Manger et siffler , ne pas manger et respirer : un choix à faire très tôt dans la vie ! !

Décidément il faut être dans la norme si on ne veut pas être menacé par toutes les malédictions de la terre. Il est curieux de constater qu’un « beau bébé » est plus à risque de développer un asthme. Cela n’est pas flagrant dans la consultation. Il faut donc rester prudent dans l’analyse de ces données épidémiologiques qui ne sont pas très convaincantes.
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