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Un argument de poids pour les biothérapies

Un argument de poids pour les biothérapies


Depuis près de quinze ans, les biothérapies sont venues révolutionner l’arsenal thérapeutique des médecins allergologues : anti-IgE, anti IL4-13, anti-IL5, etc. Ce sont des médicaments de synthèse biologique qui bloquent ou miment l’activité de (…)

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categorie asthme

L’ ;asthme est une maladie inflammatoire chronique des petites bronches qui s’accompagne ou non d’exacerbations (crises d’asthme). L’asthme est une maladie de la muqueuse bronchique se caractérisant par une obstruction des voies aériennes distales, une inflammation de ces mêmes voies et une augmentation de la réactivité des bronches à différents stimuli.

L’asthme est un état inflammatoire chronique des bronches dans lequel de nombreuses cellules jouent un rôle, en particulier mastocytes, éosinophiles et lymphocytes T (Rapport NHLB/OMS Rev.fr.Allergol., 1996, 36, 6). Notre rubrique dédiée à l’asthme.

Derniers articles asthme

article du 27 11 2025 par Dr Philippe Auriol

Les patients et les médecins adorent les outils numériques mais ils n’en parlent pas entre eux : expérience Italienne médecins-patients sur les innovations numériques dans l’asthme

Ce travail met en évidence une vérité de la pratique : dans l’asthme, la technologie ne constitue pas une finalité, mais plutôt un moyen de renforcer les bonnes pratiques. Les éléments clés demeurent un plan d’action bien défini, une technique d’inhalation optimale et une relation solide entre le médecin et le patient. Les outils numériques viennent ensuite combler les « trous » en offrant des (…)
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article du 14 11 2025 par Dr Philippe Auriol

Les incendies brûlent aussi les atopiques : effet des particules fines et des émanations gazeuses d’incendies sur la peau, le nez et les bronches de nos patients atopiques

L’exposition à la « fumée des feux » est une combinaison de particules fines qui s’infiltrent profondément, de gaz irritants et de composés organiques qui endommagent la barrière et favorisent une inflammation de type 2. Pour l’asthme, le signal est assez net pour recommander des conduites proactives : consulter l’index de qualité de l’air, garder chez soi au moins une pièce filtrée HEPA. (…)
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article du 22 09 2025 par Dr Philippe Auriol

L’asthme moisi : il n’y a pas de fumigatus sans Aspergillus !

Derrière un asthme sévère qui résiste aux traitements se cache parfois un intrus inattendu : un champignon microscopique, Aspergillus fumigatus. Invisible à l’œil nu, il se glisse dans nos voies respiratoires, provoquant des réactions immunitaires complexes et parfois destructrices. Entre l’aspergillose bronchopulmonaire allergique (ABPA) et l’asthme sévère avec sensibilisation fongique (…)
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article du 15 09 2025 par Dr Philippe Auriol

Hum hum, on a retrouvé l’allergène majeur du pollen d’Humulus japonicus !

La confirmation de Hum j 1 comme allergène majeur et spécifique du houblon japonais ouvre des perspectives concrètes pour les allergologues. En effet, dans les régions asiatiques orientales, ainsi qu’en Europe, où l’espèce envahissante se répand, ce marqueur permettra de différencier les personnes véritablement allergiques au HJ de celles qui sont sensibles à divers pollens
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article du 2 09 2025 par Dr Philippe Auriol

Allergie, asthme, autisme, diabète ou divorce : la faute au vaccin ? une histoire d’aluminé

Ce travail rigoureux jette une lumière décisive sur une inquiétude que l’on voit encore surgir dans les cabinets, forums et médias alternatifs. Non, l’aluminium contenu dans les vaccins n’explique ni les flambées de troubles neurodéveloppementaux ni la progression des maladies auto-immunes de l’enfant. Quant au signal asthmatique qui est modeste et incertain, il nous interroge plus sur les (…)
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article du 18 08 2025 par Dr Philippe Auriol

Un dernier ver pour la route ? Un vieux rhume peut-être ?

Cette synthèse met en évidence l’intérêt de considérer l’infection respiratoire précoce comme un véritable facteur de risque environnemental modifiable. Si le rôle du VRS est désormais bien documenté, cette revue met en évidence celui du rhinovirus, souvent sous-estimé en raison de sa faible sévérité. Il devient alors crucial, en consultation d’allergologie pédiatrique, d’interroger l’histoire (…)
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