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Un extrait d’œuf hydrolysé sans danger et efficace : le plus difficile est d’hydrolyser la poule !!

Un extrait d’œuf hydrolysé sans danger et efficace : le plus difficile est d’hydrolyser la poule !!


Immunothérapie orale avec extraits d’œuf hydrolysé à faible allergénicité chez des enfants allergiques à l’œuf. : Stavroula Giavi1,†, Yvonne M. Vissers2,†, Antonella Muraro3, Roger Lauener4,5, Anastasios P. Konstantinopoulos1, Annick (...)

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Rubrique alimentaires

L’allergie alimentaire est passée en 20 ans du stade d’inexistante ou de fantasme pour certains médecins au statut de dure réalité frappant jusqu’à 25% des enfants à deux ans. Cette constatation n’est pas seulement due au fait que l’on sait de mieux en mieux la retrouver : les congrès mettent en évidence le rôle primordial de notre mode de vie et de son retentissement sur notre microbiote et sur l’épigénétique. Arachide, lait de vache, noix, soja, farine de blé, poisson, fruits et bien d’autres aliments quotidiens sont des sources allergèniques potentielles. Des symptômes cutanés aux maladies respiratoires, l’allergie alimentaire peut se manifester de multiples façons.

Derniers articles alimentaires

article du 2 11 2002 par Dr Isabelle Bossé

Béta lacto-globuline : Chauffer le lait, ça change quoi ?

La beta LG entraîne donc à l’état natif une plus forte sensibilisation générale et serait donc plutôt à l’origine de signes extradigestifs dans l’allergie au lait de vache. La betaLG dénaturée induit, elle, des lésions inflammatoires locales et la production de cellules et de médiateurs de l’inflammation, on peut donc supposer qu’elle serait à l’origine de signes digestifs. Mais tout (...)
lire la suite 5082 lectures

article du 25 10 2002 par Dr Stéphane Guez

A tous les « Allergo-Visiteurs » : haro sur le sarrasin ! !

Cet article est intéressant car il souligne bien la différence entre un allergène responsable d’un test positif mais pas d’une réaction immédiate, de l’allergène qui est réellement lié à une expression clinique d’anaphylaxie. Peut-être est-ce là l’origine de cette notion banale en allergie de « sensibilisation » par rapport à « l’allergie » : une meilleure caractérisation de l’ensemble des (...)
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article du 16 10 2002 par Dr Alain Thillay

Allergie à l’oeuf : les valeurs seuils d’IgE spécifiques.

Cette étude est vraiment intéressante car correspond parfaitement à un souci constant de l’Allergologue clinicien. Le cas décrit ici du nourrisson souffrant de dermatite atopique qui a un test cutané positif à l’œuf alors que, sans aucun doute, celui-ci n’en a jamais ingéré, est assez fréquent. Bien sûr, le clinicien est toujours très friand de ce genre d’étude qui lui permet de dégager (...)
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article du 12 10 2002 par Dr Stéphane Guez

De l’intérêt d’installer une vache laitière dans les cabinets d’allergologie !

Cette étude souligne la faisabilité d’une épreuve de réintroduction systématique du lait de vache pour faire le diagnostic de l’allergie au lait de vache chez des enfants. L’absence de réaction grave, la sûreté du diagnostic, la simplicité apparente de la procédure sont séduisantes, mais ceci n’est réalisable qu’à l’hôpital dans un servie ayant des lits d’hospitalisation de jour avec un (...)
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article du 8 10 2002 par Dr Alain Thillay

Clonage d’un allergène de la noisette responsable de réactions allergiques graves.

Pas de doute cette étude est vraiment intéressante. Elle ouvre un peu plus la voie de l’immunothérapie spécifique à l’aide d’allergènes recombinants. On peut imaginer aisément l’intérêt pour le clinicien d’avoir à sa disposition un test diagnostique au Cor a 9 (pour pratiquer des tests cutanés) qui lui permettra de diagnostiquer au cabinet le sujet susceptible de faire une réaction (...)
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article du 6 10 2002 par Dr Stéphane Guez

L’allergie croisée : en clinique c’est du pipeau pour les 4/5 des patients ! ! !

Ainsi, cette étude confirme l’impression clinique d’une nette surestimation des allergies alimentaires croisées. Les tests cutanés et les dosages biologiques d’IgE spécifiques ne sont d’aucune aide et confirment donc qu’ils sont les témoins d’une sensibilisation et non d’une allergie. La pratique des tests de provocation alimentaire semble de plus en plus une étape diagnostique (...)
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